Juin

Exit les transports en commun. Le jour venu, un agent des chemins de fer l’attend sur le parking d’une gare routière semi-privative en périphérie de Rennes. Sarah remercie Glenn devant un bataillon de bus king-size laissés en stase, il se contente d’une contraction amicale forcée pour accusé de réception. L’air est frais, propice aux maladies fulgurantes, aux coups de fièvre, aux nausées. Sarah traverse des flaques comme mers mortes, ses centimètres de talons claquent et nous n’entendons que ça, elle serre son caban sous le col ; l’Ouest piégé dans ce micro-climat d’intersaison que nulle région au monde ne lui envie. Les machines gisent échouées. L’agent, lui, offre un geste désuet du bout des doigts, la casquette […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !