L’averse gifle les carreaux et dramatise la vision d’un ciel blanchi.

À l’intérieur, Sarah : la fragrance végétale du thé, forte, l’eau brûlante, il nous faut bien cela ; profite de l’infusion pour ouvrir le terminal. Elle fixe sans accommoder la surface sensible. Boot. Elle ne s’assoit pas de suite. Elle retourne sortir un carton oublié et laissé entrouvert pendant des semaines, elle cède à force de le heurter : de la vaisselle emballée dans du papier de soie. Cela l’occupe un temps suffisant pour constater le terminal bouché par l’infoverdose. Alertes pastels filtrées sous le lagon idéal de la virtualité. En souffrance : l’insistance apparentée spam du précieux Hygin, une relation si compliquée. Sarah l’ignore pour le moment. Des annonces de contrats parachutés depuis la rue de […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !