Ils se quittent poliment, aimables, encore indécis des attitudes et malgré tout satisfaits, soulagés sans doute lorsque le taxi klaxonne. Glenn regrette que Sarah n’ait pas voulu qu’il la raccompagne. Il dit posséder son propre véhicule. Elle s’en étonne, invoque cette époque d’incertitudes et de pénuries.

« J’ai les moyens et quelques bons plans. »

Ils promettent de se revoir. De se donner le temps. Prendre ce qu’il sera possible.

Le chauffeur du trajet retour est le même qu’à l’aller. L’entreprise est rustre mais Sarah passe rapidement le cap de la surprise pour un dialogue bienséant. Cela ne dure que peu de temps : le village n’est qu’à quelques minutes, au bout d’un tronçon aménagé au creux des collines.

Sarah reprend ses esprits un peu plus d’une heure plus tard. Ce monde simple n’était pas celui qu’elle avait connu.

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !