Cadre en plongée, zéro radian. Piqué incroyable et diaphragme resserré. Érébus est montré ici énergique, ses mouvements assurés — Nous n’en croyons pas un mot. La pièce est propre, dégagée ; le cou effilé minimal des machines croisent le champ. Érébus s’applique sur un écorché féminin : il déploie des matières fines, tire le faisceau de fibres blanches, en dépasse le rayon et passe, délicat, les matières autour des points d’articulation / étend le muscle blanc le long du bras, couvre l’épaule. Érébus tisse, déploie, noue les composites.

Nous l’observons des heures en plan fixe et salle blanche, à enduire le corps de mélanges inconnus d’apparence résineuse ; le liquide sèche et prend bientôt. Érébus passe plusieurs couches et poli la peau nouvelle, doucement, de lents et appliqués mouvements circulaires, il pique le grain, grave d’élégants défauts. L’atelier ne vit que du contact des outils. Sur la table naît /

« Pourquoi / pourquoi / pourquoi… »

Dans ses souvenirs, Sarah ne pleure pas.

L’adolescence délimite le seuil autoritaire de la solidité, bride au convenable les épanchements émotifs, une […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !