Disons qu’elle ne prend pas garde lorsque Gage sonne la retraite. Il n’est simplement plus là. Pas plus de monde autour. Tables vides, livres immobiles et pour la plupart clos. Jusque dans les bacs aux bouquins jeunesse et étrangetés pop-up inertes.

Sarah clipe son terminal ; elle le ferme en aveu d’échec. Glenn injoignable quand la bibliotbèque porte encore en traces le rayonnement de cet admirateur américain qu’elle ne désirait pas tant. Elle traîne ses soupirs en passant devant les fenêtres, de la buée. En bas, un chemin de graviers, quelques jardinières inoccupées pour les mois d’hiver, les premières marches d’une chapelle restaurée à l’audience nulle. Sarah regagne le rez-de-chaussée, dépasse un salon de lecture sans lecteur et une bibliothécaire sans âge qui ne […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !