Au matin, les obsessions, le partage du monde, le besoin irrépressible de gloire. Sarah confine les révélations moins supportables dans la sandbox de sa mémoire courte. Comprenons cela. Brièvement, nous revoyons le dîner, Glenn, la voiture, Sarah raccompagnée / Botafogo en filtre, le prénatal révolté. Sarah ne laisse aucun message à son frère. Glenn ne la rappelle pas.

Au domaine, Phineas Gage ne tente plus de dissimuler le tableau. Le cyclope s’applique sur la chimère lascive. La création pose sans fatigue et ne vient fléchir ses lignes de force qu’au passage de Sarah, comme par réflexe, subtilement carnivore, désireuse et sexuée. Sa main gauche se colore en heurtant le magenta de la nouvelle contre-lumière. Les tissus infinis relâchent avec précision les points stratégiques de la silhouette. Nudité incomplète, érotique en faux. Sarah Gage en icône Vogue, figure fashion, figée […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !