Côté passager, les genoux repliés et les pieds sur le rebord du siège malgré les avertissements de son père, Sarah envisage la vie qu’on lui présente : elle se replie pour contrer les espaces. Mise en abîme : Érébus préfère visiblement décrire des scènes matinales ; mettre en rapport Sarah et la lumière. Dans ce fragment de prénatal, elle écarte son père et soupire auprès de la liberté, perçoit ces mains d’homme sur le volant. Érébus parle longtemps de la mère de Sarah ; ils ne se sont, dans cette histoire, quittés que depuis quelques heures ; il parle pourtant d’une voix endeuillée. Érébus confie ses recommandations à Sarah, la prévient contre l’étouffante célébrité/ Sarah est préparée tout cela /

“Tu travailleras avec Vladislav”/ “Tu le connais, je t’ai déjà parlé de lui” et Sarah croit se souvenir. Érébus dit : “méfie-toi de lui”. Aussi : “Méfie-toi des puissances. Méfie-toi des intérêts.” Il conseille enfin : “Ne sois pas trop dépendante d’Easton”.

Sarah Easton Érébus ne parvient pas à extraire l’image rémanente de Sarah Gage. Le prototype intégré au tableau. L’explosion euclidienne façon Renaissance. Cette interprétation de la muse, Sarah Érébus une seconde fois réifiée aux yeux de Gage, réinterprétée telle une […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !