Glenn l’accueille bras ouverts, canotier à la main. Une table de jardin au tablier métallique. Une bière ouverte. Un livre épais. Un terminal laissé en veille. Une maison finalement occupée par un être cher ; Sarah commence à trouver l’idée séduisante. Glenn y demeure en gardien, en protecteur intègre du patrimoine. “Chez eux”, chacun à leur manière. Glenn lui demande “comment va”, elle récite les derniers évènements, plus intimes ceux-ci : le silence orageux de Gage au bout du fil ; le nœud gordien des contrats, nœud coulant autour de son cou et la bienveillance contractuelle de son agent ; les menaces des jeunes humaines, les femelles de la Main Rouge dans le club, les ténèbres canines découvertes, le sang aux mains.

« Aujourd’hui, c’est fête, je nous ai préparé du gibier. »

Il remarque :

« Ce n’est pas comme si ça manquait, par ici. »

Glenn offre l’apéritif à l’extérieur. Sous le gravier, la terre pousse l’odeur épaisse de l’humus. Les pelouses derrière la maison brillent de ne pas […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !