Messagerie :

« Glenn Érébus ? Ici Sarah.

Par où commencer ? Des excuses, j’imagine. J’aurai dû m’arranger pour mettre la main sur votre contact depuis Paris. J’aurai été moins brutale, moins impatiente. C’est improvisé. Girly, okay. Écoutez… J’envisage sans problème que vous préfériez vivre loin de tout ça. Cela vous pèse, d’accord. Je suis mal placée pour vous donner des conseils. J’ai largement profité du système quand vous avez préféré le fuir. Vous avez souffert du nom d’Érébus. Mais nous n’en sommes pas responsables, ni vous, ni moi. Considérez-moi comme une parvenue si ça vous chante.

Bon.

Nous ne formons en aucun cas une famille, très bien, je ne prétends pas le contraire. Je me permets seulement de penser que nous partageons un peu plus que l’aura d’Érébus. Je ne compte pas vous vampiriser Glenn ; mais je ne peux supporter l’idée d’être écartée de toute filiation. Érébus nous a quittés trop tôt. Tous les deux. Laissez-moi au […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !