Isobel 19

Pour ce dernier voyage, nous voici astronomes du Topos — Depuis ces distances où les détails nous demeureront impérativement invisibles — Les histoires que nous suivions n’auront de place que dans la mémoire des hommes (et si peu de place), rien qui ne puisse compter au rang des étoiles ; ni les pensées, ni les constructions, pas plus que ne comptent les peintres et leurs créations ; rien, sauf lors de cette dernière scène (représentation unique) pour laquelle nous nous octroyons les meilleurs sièges : ce que nous avons nommé Creatura, l’univers sensible, enfle à des vitesses relativistes et poursuit […]

Ce texte n'est disponible qu'au format imprimé. Outre que cela ne ferait certainement pas plaisir à l'éditeur, un texte édité est toujours plus intéressant que la matière brute sortie de la tête de son auteur. Plus propre. Purgée de toute coquille.