Filles nues et garçons virils

Quand l’aviatrice s’était éveillée de ses rêves d’îles, tout le monde était arrivé et tout le monde était reparti. Presque tout le monde. Une ombre massive était affairée auprès du moteur du perroquet bêta, stationné à côté de l’alpha sur le terrain dégagé faisant office d’héliport à l’ouest des jardins ; au-delà tout semblait désert, le manoir et ses dépendances rendus à leur oubli. Le soleil, masqué par les montagnes lointaines, ne baignait plus le pigeonnier et bientôt le domaine tout entier serait plongé dans leur ombre, bien avant la venue de la nuit. “Salut Eleu.” Le grand pilote s’était redressé, jetant un regard stoïque à la jeune femme qui venait vers lui. “Ah. T’es là, toi ?”// “Ouais.” Nausicaä s’approcha du perroquet. “Tu bricoles quoi ?” [Haussement d’épaules, un vent chaud balaya la poussière aride des jardins stériles.] “Je regarde. Hæmon nous a dégoté de beaux jouets.” // “Ouais.” Puis : […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !