On avance d’un champ à l’autre par le couloir d’un boyau souple, la voûte frissonne, trois fois rien, des agrégats de biotech laissée trop libre tiennent colonie à la chaleur des filons de radiation desquels nous avons renoncé à nous soustraire ; l’intérieur de la combinaison pue le vieux macdo. Sander, le fils, n’a jamais vu les foins secs de l’Europe centrale et ne ressent pas plus d’émotion particulière aux grèvements toxiques des centrales latines. Oui, plein de morts, des stats. Ce qui le concerne plus immédiatement, ce sont les signaux insistants des algos de délégation, les signaux concurrents […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !