Intro

« Je vais te dire, exactement, quelle puissance nous avions ignoré. Celle que nous aurions du voir et qui présidait à l’apogée de l’Homme. Non ? Ne vois-tu pas ? Je vais te dire : le dieu du progrès. Celui des révolutions industrielles, de la brutalité des méthodes, de la distribution hétérogène du futur, des sociétés anonymes — du capital. Ce dieu, nous aurions dû le voir, incarné masculin plutôt bel homme et entre deux âges, un homme du XXè siècle. »

Il oublie de se tourner vers elle car il n’existe que cette pensée rêveuse, une écume d’a posteriori pour imagerie simple ; peut-être s’est-elle endormie malgré le jour. Nous sommes en été, tout est déjà fini.

« Il est grand, se tient droit dans un costume droit ; un costume classique d’entre deux guerres d’où pend la fine chaîne d’argent d’une montre à gousset. De cet homme pourtant charismatique, nous en craignons le contact : pour ce qu’il représente, pour sa force sans doute. »

Elle pourrait aisément compléter ainsi : pour le souvenir des visages miniers ou du feu nucléaire ; pour ce beau visage […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !