La guerre avait commencé. Les premières craintes agitaient les faibles, les poussant à commettre erreur sur erreur. Le scorpion, dont la longue natte noire rappelait la queue de l’arachnide, faisait partie de ceux qui avaient trouvé une raison d’être à leur misérable existence post-guerre dans la formation martiale, les promesses de combat, l’envie grégaire d’apporter sa participation à l’effort national de maintien du conflit. Le scorpion était un guerrier ; il n’ignorait pas ses origines, il cultivait l’histoire de sa nation (celle d’avant l’empire) ; il était fier de ses ancêtres, répétant à tout un chacun qu’il venait […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !