La vie ne tenait pas à grand chose. Si elle avait fait son nid ailleurs qu’au pigeonnier, si son corps endormi avait été repéré par le tireur qui était venu s’y embusquer, l’aviatrice serait morte dans son sommeil, dans une ignorance bienvenue. Au lieu de ça, elle se retrouvait à courir, aux côtés d’Orphée, celui qui ironiquement avait été tiré au sort pour être son coéquipier dans la chasse fictive de Pallas, cheveux rouges et bleus réunis dans une même fuite. Si Zoé n’avait pas agi de façon aussi absurde, en les provoquant inconsidérément, et si Oreste n’y avait pas répondu avec sa méchanceté […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !