Et tout ce fric, alors, se demande-t-on ? C’est un process hétéronome, feule Sander, ça ne nous appartient pas vraiment, c’est pas à nous, laisse tomber, on peut rien en faire sur Mars, ça ne vaut rien, ça se dépense sur Terre, c’est même pas comestible. Sander crache au sol des rues sans lumière. C’est trop con, répondons-nous. Y’a pas d’autre mot, confirme-t-il. C’est un problème crypto, surtout, vraiment de la merde doit-il compléter, le contrat est appairé à un individu — On sait faire ça ? Sander hausse les épaules : c’est pas le sujet ; sans licence, je peux maintenir une petite prod pendant quelques jours, deux semaines, pas beaucoup plus.

Les perspectives sont plutôt mauvaises et les lieux sombres vus d’ici, la terre noirci malgré son fer, c’est pauvre, bien pauvre sous le colosse Atari, sous le poids des layers (l’autre nom du Capital), peinant, aveuglés par les longueurs d’onde courtes (du bleu), mais c’est ainsi que Sander doit considérer son […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !