Une silhouette émergea des arbres au nord-est — le putain de messager. Orphée se plaqua contre le mur, dans l’ombre, l’extrémité de son arme en appui sur le chambranle dévasté d’une fenêtre. Il se moquait de ce messager et de son message ; il comptait l’abattre pour profiter de la confusion et retourner en forêt traquer ses complices — le goth aurait peut-être le cran de le suivre, il lui devait bien ça. La voix de Kyra l’avait rassurée : il savait que de son côté la sniper pourrait gérer sans difficulté la surveillance du manoir, maintenant qu’ils en savaient davantage sur la nature de leurs ennemis — ce n’était pas des loups, encore moins des loups-garous, juste des soldats, comme eux, et en sous-nombre. Orphée avait passé les environs au crible, il estimait que seule une escouade légère de cinq ou six hommes aurait pu s’infiltrer sans qu’il les détecte, une escouade probablement envoyée pour une mission précise, récupérer […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !