Les buissons s’écartèrent et Séléné en sortit. Pâle, triste, elle adressa un salut de la main à la sainte. Derrière elle, la large silhouette d’Eleuthère encadrait celle, frêle et évanescente, de leur camarade fantôme ; Thècle leva les yeux sur le regard mort du pilote, l’inexpressivité de son visage, la large plaie béante sous son menton ; Eleuthère secoua la tête — il n’y avait plus rien à faire, toute lutte était inutile. Ovide apparut à la droite de Séléné, sa cicatrice seule lueur de son visage, cette blessure qu’il s’était infligée quand, elle le comprenait maintenant, il avait essayé […]

Oh, mais, pourquoi couper ? Pourquoi si peu ? Pourquoi se contenter d'un avant-goût, hein, pourquoi ? Abonnez-vous et recevez à la carte les fragments de ce texte !